Violoncelliste évadée du classique pour plonger quelques années dans les musiques populaires en Bulgarie et à Istanbul, Pauline Willerval a fait de la gadulka sa principale camarade de jeu. Elle aime ouvrir l'instrument à une diversité de répertoires qui ne lui étaient pas destinés et multiplie les collaborations originales avec d'autres musicien•ne•s adeptes des foires et de la mutation. Elle joue et chante (parfois écrit et compose) au sein de Horla, Glück Auf, Altavoz, La nose, KBA 5.
VIOLONCELLE, GADULKA, VOIX
À découvir lors des Sept concerts pour la fin d'un monde au Béaj à Brest.