Finistère

Il y a deux cents ans, Augustin Fresnel inventait la lentille à échelons qui fut rebaptisée ensuite lentille de Fresnel. Marie-Claude Castex, directrice de recherche au CNRS, et Jean-Christophe Fichou, historien spécialiste des phares, nous présentent avec un regard à la fois historique et scientifique les circonstances et les travaux qui ont permis la fabrication de la première lentille de Fresnel, qui est toujours utilisée deux siècles plus tard.

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En février-mars 2022 dans toute la Bretagne, de nombreux libraires ou bibliothécaires se mobilisent pour mettre en lumière la vitalité littéraire et la richesse éditoriale régionale à travers des rencontres avec des auteurs et éditeurs. Un Mois du livre en Bretagne fait de lectures, d'expositions, de tables rondes, d'ateliers créatifs ou encore de concert dessiné pour valoriser auprès du grand public la création littéraire avec les acteurs de la filière.
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Curieuse expérience que celle vécue par les musiciens improvisateurs de l'ensemble Nautilis, jouant sept concerts, sept soirs d'affilée, sans public, ce dernier étant confiné, le temps que la deuxième vague du Covid aplanisse sa courbe.
Tiers lieu culturel au cœur de Brest, le Beaj Kafé, leur est familier. Beaj signifie voyage en breton. Le voyage auquel nous convient les sept formations que vous allez découvrir est intérieur, guidé par l'inspiration du moment.

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Sortir le spectacle vivant des murs parfois infranchissables des salles qui lui sont dédiées. L’amener là où l’on ne l’attend pas, auprès de populations peu sollicitées et potentiellement en attente. C’est ce que propose Nomadanse, un festival qui fait prendre l’air à la création chorégraphique, avec des danseurs qui se produisent dans la nature, comme s’ils en étaient issus.

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La pièce Supergravité est un savant mélange de sciences et de poésie, d'astrophysique et de spiritisme. Une pièce scénique et musicale, qui aborde l'incommensurable avec les moyens du bord. Quatre comédiens chanteurs qui s'expriment abondamment sans pour autant prononcer un mot, une phrase compréhensible.

KuB a tenté de saisir la genèse de la création de ce projet en suivant les artistes en résidence au TNB et à la Maison du théâtre de Brest.

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Si vous êtes un habitué des fest-noz, vous connaissez sûrement Fleuves, un trio dont les influences se retrouvent dans la musique bretonne, matinées de rock et d’électro. Un mélange qui les a conduits jusqu'aux scènes de musiques actuelles. Ils ont ainsi fait danser sur des pas de gavottes et de plinn le public des Vieilles Charrues ou des Transmusicales.
KuB s’est immiscé dans leur studio pour leur poser la question qui fâche : comment définir Fleuves ?

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En s'appuyant sur l'ensemble Nautilis, le chercheur en neurosciences Nicolas Farrugia mène des expériences pour comprendre le fonctionnement neuronal du cerveau d'un musicien au moment où il improvise. En analysant les données d'électroencéphalographie (EEG) issues de capteurs posés sur le crâne des musiciens, il espère faire le lien entre les états subjectifs de l'improvisation et d'autres états, comme la concentration, le stress ou la créativité.

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Depuis 2010, l’Ensemble Nautilis provoque des échanges entre musiciens d'outre-Atlantique. Après Chicago, New York et la Nouvelle-Orléans, c’est entre Montréal et Brest que s'est créé une passerelle musicale. Deux artistes québécois et deux français ont établi des relations entre leurs territoires respectifs, organisé des échanges, des moments impromptus de création qui ont débouché sur la création du groupe No Silenz.

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Bonadventure Pencroff en tournée à la Nouvelle-Orléans joue dans des endroits aussi variés qu’un musée du jazz, une université, un club. Une occasion de réinventer la musique et construire de nouveaux liens avec les musiciens rencontrés sur la route. Sylvain Bouttet est du voyage, il se coule avec bonheur dans les pérégrinations du groupe.

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Venue en Bretagne pour quelques mois, Inès Léraud y restera trois ans. Un temps qu'elle a pris pour s'immerger, discuter avec les témoins, gagner leur confiance et voir la parole se libérer sur un sujet tabou en Bretagne : le poids de l'industrie agroalimentaire dans le quotidien des gens.
KuB l'a rencontré lors du Festival Longueurs d'Ondes où elle participait à une table ronde sur les difficultés rencontrées dans de telles enquêtes. Après La fabrique du Silence, Algues vertes, l'histoire interdite, ou encore Journal Breton (trois dossiers disponibles sur KuB), Inès Léraud a fait face à deux procès pour diffamation et autres pressions.

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Dans Fabrik - En danseuse >

11 chorégraphes sont invités à revenir à la source de leur manière de danser, d’envisager leur corps dansant en revenant à l’essentiel du geste. Trois écrans côte à côte restituent le résultat où les images se télescopent en réponse aux mouvements des chorégraphes.
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Dans Fabrik - Backline >

Le danseur et chorégraphe se fait performeur avec la complicité de Pauline Boyer. Il se meut dans une arène circulaire bardée d’équipements électroniques qui captent et sonorisent ses mouvements. Une manière de se raconter, et de poser là un rapport au monde contemporain. Carne de Bernardot Montet

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Dans Fabrik - Carne >

Prendre le temps d’être avec soi, de sortir du tourbillon de la consommation, voici ce qui propose cette chorégraphie qui s’inspire de photographies centenaires d’un peuple d’Ushuaïa et de la pensée du tremblement d’Édouard Glissant, pour sortir des raidissements de la pensée.

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Dans Fabrik - Ouest >
André et Jean-Claude ne sont pas des danseurs épatants. Ils sont de la campagne bretonne… il sont, tout simplement. À leur rythme et avec une grâce qui leur est toute personnelle, et non spectaculaire, ils explorent une situation à risque, la chorégraphe d’un récit azimuté plein Ouest.

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Les Capucins >
Première édition qui connecte le cinéma le plus archaïque aux nouvelles technologies : trituration de chutes de pellicules projetées ensuite sur un projecteur antédiluvien, réalité virtuelle sous casque panoramique, et l’atelier MashUp qui marie les deux.

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Au Mac Orlan, l’Ensemble Nautilis interprète sur le vif les photos de Guy Le Querrec. Un photo-concert sur des visages, des lieux, des moments de grâce. La musique se déploie en écho aux clichés délicatement composés dans une réalisation vidéo de Jean-Alain Kerdraon.

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ARCH 2 - CLOUS-UBO >
La mise en bouche est aérienne, incisée d’envolées syncopées (Poulsen), assaisonnée de frottements et de furettements (Nicolas Pointard) et nimbée d’atmosphères électro-acoustiques (Sylvain Thévenard). Du jazz qui déconstruit sans agresser. Jubilatoire.

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ARCH 1 - CLOUS-UBO >
Tracer un paysage sonore inédit, avancer ensemble dans l’inconnu, décider dans l’instant la musique que l’on co-crée… c’est l’expérience unique de 4 virtuoses du jazz qui jouent pour la première fois ensemble.

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Tchaïd
Ils ont grandi à Paris, avant de revenir en Bretagne pour y compléter leur formation initiatique à la Kreiz Breizh Akademi, où ils se sont rencontrés. Le chant monodique a cappella de Youenn Lange s’est fondu dans les arabesques du violoncelle d’Alexis Bocher.

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Oudside
Le oud est une sorte de luth très répandu dans les pays arabes, présent ici grâce aux métissages mitonnés par la KBA. Celui de Florian Baron se mêle aux guitares de Boudot et Blandin, marquant sa différence, comme un chant oriental serti d’harmonies occidentales.

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Barba Loutig
Quatuor vocal féminin-taquin qui envoie ! Tant au niveau des sens que du sens. Femmes flamboyantes et audacieuses, douces et mordantes... leur ensemble est proprement envoûtant.

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Le Quartz - La Carène - L’église St-Louis >
Créé à Brest en 2004, l’Atlantique Jazz Festival est un festival collaboratif et itinérant, via des tournées d’artistes dans les communes partenaires. La dernière semaine le festival s’installe à Brest, selon un parcours dans la ville lui permettant, en fonction du lieu, d’établir un rapport différent à la musique, une musique plurielle, nourrie par des répertoires originaux et partagée grâce au développement des actions culturelles en direction des jeunes publics, artistes en herbe… (master classes, rencontres…)

KuB vous fait découvrir 5 spectacles et rencontres de l'édition 2018:

In Girum
Bojan Z & Julien Lourau
Cabaret Contemporain
Napoleon Maddox
Quatuor Machaut
Fidel Fourneyron

Longueur d'Ondes > Voici le Grand BaZH.art dédié au Festival Longueur d’ondes ! Le magazine y explore la forme radiophonique dans ce qu’elle a de plus contemporain avec, notamment, le succès grandissant des podcasts. Une nouvelle génération d’auteurs a investi un genre qui brouille les pistes entre (auto)fiction et documentaire.

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Les Capucins > Entre Trans Musicales et NoBorder, voici une occasion de voir comment se tissent les relations internationales entre producteurs et programmateurs de musiques actuelles.

avec Bumpkin Island, Cosmic Project, Krismenn, Tchewsky and Wood, XXX, Santa Cruz, Fleuves, Kreiz Breizh Akademi #6, Ndiaz.

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L’artiste peintre et graveur Thomas Godin foule les terres de son enfance, sa plus grande source d’inspiration. Il noie son regard dans les îles et les estrans aux côtés de Morgane Le Baquer, responsable du Centre d’interprétation – Les enclos, retrace l’histoire des enclos paroissiaux, notamment liée au commerce du lin dans le nord de la Bretagne.

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Le cercle celtique Dañserien Lann Tivizio et la confédération Kenleur s’associent pour proposer conjointement une exposition en plein air sur les costumes bretons : Livioù (couleurs en Breton). Un projet qui mêle de manière originale patrimoine et art contemporain : une exposition en pleine aire de photos géantes des générations passées en habits traditionnels.

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Le centre d’interprétations des enclos paroissiaux de Guimiliau consacre une expo temporaire aux artistes contemporains Christophe Le Baquer, Inês Ferreira et Seenu Shanmugan, lointains descendants des sculpteurs qui, des siècles plus tôt, firent les dentelles de granit qui sidèrent le touriste en quête de vertiges patrimoniaux. En montrant le processus de création de ces géants de pierre, l’expo retrace la diversité des inspirations qui ont conduit à leur genèse.

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Concarneau Cornouaille agglomération fait le pari de faire danser ses neuf communes avec la première édition du festival Cap Danse.

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FabLabs, pour fabrication laboratory (labo de fabrication), c’est le drôle de nom donné à une forme de tiers-lieux, entre la caverne d’Ali Baba, l’atelier de grand-père et la NASA. On y trouve les dernières technologies numériques comme l’impression 3D, la découpe laser ou la broderie numérique, qui permettent à quiconque de venir fabriquer, monter, démonter, détourner à peu près n’importe quoi. Si cette invention tout droit débarquée de Boston a d’abord atteint la capitale, on retrouve désormais des FabLabs un peu partout en France, des grandes métropoles aux territoires ruraux.

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Les bibliothécaires de l’agglomération de Concarneau concoctent chaque année une programmation dédiée aux arts numériques, pour inviter la population à renouveler son regard sur l’outil de service public qu’est une médiathèque.

Pixelarts permet de comprendre ce que devient, au 21e siècle, l’art de la fresque. Réalité augmentée, DJ set, vidéo mapping… autant d’appellations pour nommer des performances alliant images et sons, projetées sur des surfaces extérieures ou intérieures, dans le but d’inciter à la rêverie, à la méditation, à la lecture de signes mis en regard par des artistes multimédia.

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Aboutissement des nombreuses P’tites Fabriques proposées par Tourisme Côte des légendes, la Grand’ Fabrique de l’Imaginaire est l’occasion, le temps d’un week-end, de découvrir le territoire et rêver grâce aux artistes, au paysage et aux patrimoines de pierres et de mots.

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Voici une galerie de portraits d’éditeurs implantés en Bretagne. Autant de maisons autant de profils, d’envies, qui débouchent sur une grande diversité d’objets et d’écritures portées à l’attention des libraires et bibliothécaires. Ces rencontres permettent ainsi de voir que l’éditeur est un acteur clé de la filière du livre et qu’il va, par sa sensibilité singulière, ouvrir un nouveau champ des possibles dans l’offre livresque. C’est dire s’il est important qu’ils poursuivent leur sacerdoce, qu’ils soient encouragés et soutenus pour que les formes littéraires se régénèrent et continuent de nourrir la société.

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Les Morlaisiens attendaient avec impatience le retour d’un événement culturel emblématique. Avec Rues en scène, festival d’arts de rue, Morlaix transforme l’espace public en lieux magiques. Pour donner un nouveau souffle au festival après la crise sanitaire, 35 artistes et compagnies ont été programmés sur quatre communes de l’agglomération. Musique, théâtre, danse, acrobaties, street art et culture bretonne, de quoi donner des envies pour la suite.

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Des prairies de Carhaix aux pelouses de Central Park, il y a un pas que les Vieilles Charrues n’ont pas hésité à franchir. L’idée même de se produire au cœur de New-York a mobilisé les médias et la diaspora bretonne. Avec M, Celtic Social Club, Krismenn

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Créé en 1846, le Musée départemental breton est le plus ancien du Finistère. Logé dans l’ancien palais épiscopal de Quimper élevé dès le XVIe siècle, il en renferme encore de nombreuses traces : la cuisine, la salle des fresques, les appartements ou encore la tour de Rohan. La collection du musée, riche de plus de 65 000 pièces, retrace l’histoire et la culture de la Basse-Bretagne, de la Préhistoire à nos jours.

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Le Barzaz Breiz, le célèbre recueil de chants traditionnels arrangés par Théodore Hersart de La Villemarqué est à la disposition de qui voudra s’en emparer. Le Conservatoire de Quimper, associé au projet d’expo au Musée breton, a proposé à ses profs et ses élèves d’explorer ce répertoire en le réinterprétant. Mais d’abord, écoutons la chanteuse Andrea Ar Gouilh et sa découverte du Barzaz Breiz dans les années 50. Une révélation pour celle qui a interprété ces chants toute sa vie.

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En 2016, la famille de La Villemarqué cède les manuscrits et la bibliothèque de Théodore aux Archives départementales du Finistère. Commence alors un parcours de valorisation de ce fonds de 5 700 pièces. Voici comment des archivistes ont travaillé de concert avec des universitaires et des musiciens pour lancer une nouvelle vague d’interprétation des travaux du vicomte, un siècle et demi plus tard.
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Théodore Hersart de La Villemarqué est mondialement connu en tant qu’auteur du Barzaz Breiz, une œuvre de jeunesse qui a rencontré un écho durable auprès de publics attachés aux arts et traditions populaires et un soupçon tout aussi durable, celui d’avoir figé sur le papier une tradition orale tout en l’adaptant à son système de valeurs. Nous vous proposons ici d’aller à la rencontre de l’illustre personnage. En passant une journée à Keransker, la propriété qu’il fit bâtir en 1850 près de Quimperlé : visite en compagnie de Guy de La Villemarqué, son descendant direct.

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Rencontre, dans sa maison de famille, avec le vieil homme au chapeau, toujours vaillant. Célèbre pour ses affiches lacérées et sa guérilla des signes, il est considéré comme le père du street art. Retour sur une œuvre, avec également Pénélope, un film expérimental des années 50. Cliquez ici pour découvrir la page.

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À la rencontre de Sophie Salleron, en résidence d’écrivain dans le sémaphore d’Ouessant où elle passé quelques mois dans le but de publier un journal de bord. On y découvre son quotidien dans le sémaphore, sa façon de travailler et ses inspirations.

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