Je suis hors de contrôle
Entre mourir de rire et mourir tout court, il n’y a pas photo. Je suis hors de contrôle est une désopilante histoire d’un fou rire à faire craquer toute bienséance.
JE SUIS HORS DE CONTRÔLE
JE SUIS HORS DE CONTRÔLE
un film de Jérémy Breut (2015 - 2'20)
RÉVEILLER L'ENFANT ESPIÈGLE
RÉVEILLER L'ENFANT ESPIÈGLE
Jérémy Breut : J’ai réalisé ce film dans le cadre de la 6e édition du concours Nikon. J’y utilise les codes de films dramatiques bousculés par le burlesque. Il en résulte un film amoral ou plutôt, dont la morale serait de cesser de prendre tout au sérieux. Rire de choses dramatiques est savoureux. Je voulais vous entraîner dans mon impertinence et réveiller l’enfant espiègle qui est en chacun de nous. Cela passe par la désacralisation dʼune famille intègre et la décrédibilisation dʼun personnage torturé comme on en rencontre dans les films noirs.
Lʼhistoire est celle de deux comédiens – mon frère et moi – ne pouvant pas jouer ensemble car ils sont pris de fous rires. Ils tentent alors de faire un geste pour prévenir cette pulsion en vain. Ce film me permet aussi de mettre en évidence que le tragique n’est pas une fatalité. Moi le premier jʼai commencé par un court métrage dramatique (Je ne suis pas aléatoire). Qui suis-je pour dire ce quʼest la vie du haut de mes 21 ans ?
JÉRÉMY BREUT
JÉRÉMY BREUT
Jérémy Breut, 21 ans, a toujours voulu faire du théâtre. La première fois que je me suis dis que jʼallais être comédien c’était quand jʼai pu regarder mes frères jouer sur la scène du collège. Depuis j’ai axé ma vie en fonction du théâtre tout en gardant un oeil sur les débouchés possibles. Après mon BAC S, jʼai obtenu une Licence de physique pour intégrer un Master « image et son » à Brest tout en suivant les cours dʼart dramatique au Conservatoire (mon objectif étant dʼintégrer le Conservatoire de Paris). Pendant mon Master jʼai eu lʼoccasion de réaliser quelques courts métrages, et jʼy ai pris beaucoup de plaisir !
9 août 2017 10:17 - BREUIL-CLAVE Sabine
Jolie découverte iodée que cette ballade à la mer : on a toutes et tous quelque chose ou quelqu'un à libérer !