LES ÉTRANGÈRES
IRINA TEODORESCU
IRINA TEODORESCU
Irina Teodorescu est née à Bucarest en 1979, vit à Paris, et écrit en français. Elle rencontre un très bel accueil dès son premier roman, La malédiction du bandit moustachu (Gaïa, 2014), traduit en allemand et en roumain, puis avec Les étrangères (2015).
En deux livres, Irina Teodorescu a conquis la scène littéraire française. [...] Deux merveilleux petits joyaux composés de personnages fous et de folles histoires.
Un amour absolu, sensuel et sauvage
Un amour absolu, sensuel et sauvage
Ouest France >>> Une petite musique faite de malice, d’énergie et de soif de vivre qui font la marque de fabrique de l’écrivain.
Radio Souvenirs FM >>> J’ai adoré l’écriture parfois fluide, parfois hachée, selon l’intensité de la passion, effleurant le magique et le fantastique d’une manière si évidente… Très jolie et puissante allégorie sur le processus de création qui se nourrit de l’âme de l’artiste jusqu’à parfois le vampiriser.
Metropolis, Arte >>> En deux livres, Irina Teodorescu a conquis la scène littéraire française. Deux merveilleux petits joyaux composés de personnages fous et de folles histoires.
Le Soir >>> Joséphine, passée du violon à la photographie, et Nadia, danseuse chorégraphe, ont quitté ensemble la Roumanie pour des aventures artistiques à succès, qui rongent le socle de leur amour. Et le tourbillon de la gloire les éloigne dans des spirales où le sens du mot « liberté » diverge.
actualite.com >>> Un monde très coloré, tantôt réaliste tantôt presque irréel et imaginaire, avec une légèreté, une grâce toute primesautière, dont l’écriture se fait habilement l’écho, à la fois fluide, pleine d’enchantement, de fantaisie et de sensibilité.
Librairie Mille et une pages >>> Belle histoire d’amour. Très sensuelle. Avec des mots qui dansent comme Nadia.
Librairie Terre des livres >>> Dans ce nouveau roman aux allures de conte qui dépeint ce qu’est une enfance dans un pays communiste, l’auteure roumaine, de sa plume délicieuse et espiègle, nous joue la partition d’un amour absolu, sensuel et sauvage.
Marie-Neige Berthet, Secrétaire générale de l’ADELF >>> La construction est subtile, et l’écriture vraiment envoûtante. Le passage d’une écriture pas vraiment ponctuée (comme dans Cent ans de solitude) à des notations courtes et brutales est d’une efficacité redoutable.
Parallèles >>> Cette passion dévorante et destructrice entre ces deux femmes, Irina Teodorescu la sublime avec une puissance évocatrice libre et sincère, tout en sensualité. Elle confirme ici son talent avec ce deuxième roman, dans un ton très différent. Cette dame a de la ressource et n’a pas fini de nous étonner !
Le Courrier de l’ouest >>> Irina Teodorescu offre ici un récit espiègle, plein d’obsessions, d’angoisses mais aussi d’une grande sensibilité. […] Elle maîtrise son récit comme une magicienne, bluffant au fil des pages ses lecteurs.
La Montagne >>> Une conception farfelue [de la réalité], mais qui cache dans sa loufoquerie des thématiques universelles, mises en écriture de manière touchante et juste, vibrante, humble et sensible.
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